La justice est-elle vraiment aveugle, comme elle devrait l’être ? C’est ce que nous voulons illustrer ici. Certains estiment qu’elle ne doit pas l’être, ce qui est le contraire de ce que nous avons toujours voulu construire. Une justice aveugle signifie qu’elle est capable de rendre la même décision indépendamment de la personne jugée. La question se pose de savoir si tel est le cas. En d’autres termes, sommes-nous tous concernés par les dérives du wokisme ? Force est de constater que certaines situations contreviennent déjà au droit français.
Récemment, une université a refusé d’inscrire certains étudiants à un atelier d’informatique parce qu’ils étaient des hommes. Un syndicat étudiant, par la voix de sa présidente, a légitimé les “réunions non-mixtes”. Parfois, notamment en milieu universitaire, l’obligation d’utiliser l’écriture inclusive va jusqu’à… l’exclusion pour ceux qui ne s’exécutent pas. Des statues de Napoléon ou de Churchill sont déboulonnées. Quant à MeToo, si la dénonciation calomnieuse n’est pas la règle, elle concerne au moins 2% des cas, ce qui est énorme en termes de milliers de vies détruites.
Nous avons constaté chez certains de nos clients les dégâts provoqués par de telles dérives. C’est pourquoi Lexial met en place, à partir du 16 octobre 2023, une permanence visant à donner un premier conseil juridique gratuit aux victimes du wokisme au sens large.
Les victimes d’actes woke se sentent impuissantes en termes de moyens de réaction, surtout lorsqu’elles font face à des attaques sur les réseaux sociaux.
Pourtant, il existe des outils juridiques, dont on parle étrangement peu. L’objectif de la permanence est ainsi de les informer sur ces outils.
Alors que certaines mairies envisagent de proposer ce type de permanences, Lexial est la première société d’avocats à franchir le pas. Avec un objectif : expliquer à toutes les victimes du wokisme quelles sont les premières démarches à accomplir.
Car elles ignorent trop souvent qu’elles ont des droits ! En matière de MeeToo, c’est la dénonciation calomnieuse prévue par l’article 226-10 du code pénal, et surtout la défense de la présomption d’innocence face au tribunal des réseaux sociaux. Concernant l’écriture inclusive, il est possible de s’appuyer par exemple sur la circulaire ministérielle du 21 novembre 2017, la loi Toubon de 1994, ou les précisions de l’Académie française, bien qu’elle n’ait pas de pouvoir juridique stricto sensu. Les réunions non-mixtes quant à elles sont sujettes à des actions en discrimination.
Comment ça marche :
Si vous estimez être victime d’une dérive wokiste ou d’une dénonciation calomnieuse sur Me Too, envoyez-un mail expliquant la situation à permanence@lexial.eu
N’oubliez pas d’indiquer votre numéro de téléphone pour que nous puissions vous contacter rapidement. Nous le ferons dans les 24 heures. Si nous ne vous contactons pas, cela signifie que votre situation n’entre pas dans un des cas de figure dans lesquels nous pouvons / souhaitons intervenir.
L’objectif de cette permanence est de pouvoir vous dispenser un premier conseil juridique gratuit. Le droit pénal faisant partie de nos activités principales, c’est sous cet angle qu’une solution vous sera proposée. Notre objectif étant uniquement d’apporter une réponse à des victimes qui ont aujourd’hui du mal à en trouver, nous ne nous réservons aucun droit de suite quant à un éventuel dossier qui naitrait de la consultation.